Cathédrale Saint-Cyr et Sainte-Julitte de Nevers

Cathédrale Saint-Cyr et Sainte-Julitte.
Infos rapides :
📍 Localisation : 6 Rue Abbé Boutillier, 58000 Nevers
🌐 Wikipédia : Cathédrale
Un petit mot avant la visite
Au cœur de Nevers, la cathédrale se distingue par une particularité rare : elle réunit un chœur roman (orienté à l’ouest) et une nef gothique.
Gravement touchée par les bombardements de 1944, elle a été reconstruite après-guerre et magnifiée par un programme unique de vitraux contemporains, réalisés par de grands artistes.
Un lieu qui conjugue patrimoine ancien et création moderne.
Gravement touchée par les bombardements de 1944, elle a été reconstruite après-guerre et magnifiée par un programme unique de vitraux contemporains, réalisés par de grands artistes.
Un lieu qui conjugue patrimoine ancien et création moderne.
À voir & à faire
🎨 Activités : nef gothique, chœur roman, crypte (visite libre).
🌟 Insolite : deux chœurs dans un même édifice.
📷 Points de vue : parvis + ruelles de la butte de Nevers.
ℹ️ Commodités : entrée libre ; infos à l’Office de Tourisme.
🌟 Insolite : deux chœurs dans un même édifice.
📷 Points de vue : parvis + ruelles de la butte de Nevers.
ℹ️ Commodités : entrée libre ; infos à l’Office de Tourisme.
Un peu d’histoire
La cathédrale de Nevers est le fruit de plusieurs siècles de construction. Le premier édifice roman
remonte au XIᵉ siècle : son chœur, tourné à l’ouest, existe encore aujourd’hui. Aux XIIᵉ et XIVᵉ siècles, une vaste nef gothique vient compléter l’ensemble, donnant à l’édifice cette silhouette singulière avec deux chœurs opposés.
Durant la Seconde Guerre mondiale, dans la nuit du 15 au 16 juillet 1944, les bombardements
Durant la Seconde Guerre mondiale, dans la nuit du 15 au 16 juillet 1944, les bombardements
détruisent une grande partie du chœur gothique. Les travaux de reconstruction, menés de 1946 à 1966, redonnent vie au monument sans effacer ses cicatrices.
Plutôt que de copier l’ancien décor, on choisit alors d’ouvrir la cathédrale à la création contemporaine :
Plutôt que de copier l’ancien décor, on choisit alors d’ouvrir la cathédrale à la création contemporaine :
un vaste programme de vitraux abstraits est confié à des artistes majeurs du XXᵉ siècle, comme Honegger, Viallat, Rouan, Alberola ou Ubac. Grâce à eux, la lumière colorée qui traverse aujourd’hui
la nef fait dialoguer la pierre médiévale et l’art moderne.